
- Le coté répétitif de certains épisodes. L'aspect "looner" (épisodes indépendants avec 1 enquête chaque semaine) ne convient pas à Pushing Daisies. J'aurais préféré qu'on se concentre un peu plus sur les personnages, la mythologie de la série et qu'on développe des arcs narratifs sur plusieurs épisodes. Toutefois, je suis bien conscient qu'avec la grève la série n'a pas eu le temps d'explorer l'originalité de son univers et de ses personnages.
- Les dialogues, constitués de phrases très longues débitées à la vitesse de la lumière. Parfois, c'est drôle. Mais la plupart du temps, c'est insupportable. Surtout si l'on regarde la série avec des sous-titres.
- J'ai été surpris par le fait que j'ai rapidement été agacé par le couple vedette : Ned et Chuck. Leur storyline n'avance pas et leurs intrigues sont d'un prévisible ! Je leur préfère (et de loin !) le personnage d'Olive qui est beaucoup plus drôle et plus fun.
Bilan : une série qui m'a un peu déçu. Cependant, j'attends d'elle qu'elle rectifie le tir à la rentrée et qu'elle passe du statut de série sympa à celui de série géniale.

La série a été renouvelée pour une seconde saison de treize épisodes.
Bilan : un très bon drama plein de justesse et de surprises. Dans la lignée de Six Feet Under.

Bilan : Dirty Sexy Money peut encore s'améliorer et devenir un vrai soap addictif et très plaisant à regarder (à l'instar de Brothers & Sisters).

Au final, j'ai pris mon pied devant une bonne partie des épisodes. Les personnages sont attachants, les intrigues divertissantes et les scènes d'action suffisamment bien réalisées pour oser la comparaison avec Alias.
Mais attention, la série n'est pas sans défauts. Ces derniers se font surtout sentir vers la fin de la saison. Tout d'abord, il y a le coté parfois redondant des intrigues (un épisode = un méchant = une mission). Ensuite, il y a la personnalité un brin agaçante du personnage principal, Chuck. Il est toujours en train de se lamenter, de jouer le novice. Au bout de dix épisodes, ça devient embêtant.
Bilan : Chuck est une série qui peut (au mieux) demeurer sympathique et divertissante. C'est déjà pas mal.

Pour ma part, j'ai abandonné la série au bout d'une dizaine d'épisodes. Deux raisons à cela :
- Une raison pratique : le rythme de diffusion (1 épisode tous les soirs du lundi au vendredi) exigeait une grande implication du téléspectateur.
- Une raison artistique : j'ai trouvé la série assez peu réaliste dans la place trop active accordée au psy et dans la multiplication des rebondissements racoleurs.
Bilan : je sais que certains ont beaucoup aimé la série mais ce n'est pas mon cas (et d'une partie de la critique). In Treatment a monopolisé l'antenne de ma chaîne préférée durant plusieurs semaines. Heureusement, l'audience n'a pas été au rendez-vous et il est peu probable que le show obtienne une seconde saison.